Trois collègues allemands, Jürgen DAHLKAMP, Maria MARQUART et Johanna WAGNER, ont récemment publié un article le 29 septembre 2023, soulevant des soupçons de fraude systématique concernant le soja bio prétendument d'origine togolaise. En réponse, l'Association Nationale pour l'Agriculture Biologique (ANABIO-TOGO) a vivement réagi à travers un communiqué dénonçant ces allégations diffamatoires.
L'association conteste fermement ces accusations, soulignant qu'elles portent injustement atteinte à la réputation de la filière du soja bio togolais. Elle met en avant la croissance remarquable de ces dernières années, qui a contribué à améliorer les conditions de vie des petits producteurs locaux, un progrès qui, selon elle, ne saurait résulter d'une fraude.
ANABIO-TOGO insiste sur la nécessité de faire toute la lumière sur cette affaire pour éclairer les parties prenantes et déterminer les responsabilités éventuelles. Elle souligne que l'industriel en question n'a pas directement acheté le soja au Togo, mais via un autre importateur européen de graines de soja biologique, soumises à des contrôles stricts conformément aux exigences des organismes de certification de l'UE depuis 2021.
L'association critique également le manque d'enquête approfondie avant d'incriminer les graines de soja, suspectant que la fraude pourrait provenir d'ailleurs. Elle s'interroge sur le rôle du premier importateur et sur la fiabilité des analyses effectuées par les laboratoires européens.
En outre, ANABIO-TOGO déplore l'accusation hâtive portée contre le soja togolais, qu'elle considère comme une tentative de déstabilisation des ventes, déjà affectées par les exigences croissantes du marché bio européen. Elle met en garde contre les pratiques frauduleuses qui consistent à faire passer des produits africains pour des produits européens à des prix élevés.
Face à cette situation, l'association en appelle aux acteurs de la filière bio, en particulier ceux du soja bio togolais, à ne pas céder à la panique et à se mobiliser pour restaurer l'image du pays ternie par cette affaire.
L'association conteste fermement ces accusations, soulignant qu'elles portent injustement atteinte à la réputation de la filière du soja bio togolais. Elle met en avant la croissance remarquable de ces dernières années, qui a contribué à améliorer les conditions de vie des petits producteurs locaux, un progrès qui, selon elle, ne saurait résulter d'une fraude.
ANABIO-TOGO insiste sur la nécessité de faire toute la lumière sur cette affaire pour éclairer les parties prenantes et déterminer les responsabilités éventuelles. Elle souligne que l'industriel en question n'a pas directement acheté le soja au Togo, mais via un autre importateur européen de graines de soja biologique, soumises à des contrôles stricts conformément aux exigences des organismes de certification de l'UE depuis 2021.
L'association critique également le manque d'enquête approfondie avant d'incriminer les graines de soja, suspectant que la fraude pourrait provenir d'ailleurs. Elle s'interroge sur le rôle du premier importateur et sur la fiabilité des analyses effectuées par les laboratoires européens.
En outre, ANABIO-TOGO déplore l'accusation hâtive portée contre le soja togolais, qu'elle considère comme une tentative de déstabilisation des ventes, déjà affectées par les exigences croissantes du marché bio européen. Elle met en garde contre les pratiques frauduleuses qui consistent à faire passer des produits africains pour des produits européens à des prix élevés.
Face à cette situation, l'association en appelle aux acteurs de la filière bio, en particulier ceux du soja bio togolais, à ne pas céder à la panique et à se mobiliser pour restaurer l'image du pays ternie par cette affaire.